de poudre d’aloës, dans la proportion de 10 parties d’aloës sur 90 d’acide arsénieux ;
» 3o. Qu’il en serait de même pour l’acide arsénieux destiné à être appliqué à l’extérieur par les vétérinaires, et par quelques individus qui emploient cet acide au traitement de la gale ;
» 4o. Qu’il serait nécessaire que l’acide arsénieux, destiné à l’empoisonnement des rats, des souris, fût mêlé au bleu de Prusse, ou à l’indigo soluble, dans la proportion de 90 parties d’acide arsénieux pour 10 de matière colorante ;
» 5o. Que l’arsenic métallique pulvérisé, livré au commerce pour la destruction des mouches, fut mêlé d’un dixième de son poids de bleu soluble ;
» 6o. Que, dans divers cas, le goût communiqué par les substances vénéneuses aux alimens empoisonnés avait suffi pour avertir les victimes, et les sauver du danger auquel elles étaient exposées ;
» 7o. Que, dans d’autres circonstances, la couleur du poison avait été un avertissement salutaire. »
Cet instrument se compose de deux sextans superposés, à l’aide desquels on peut mesurer des angles de toutes grandeurs.
Cette première Note, car l’auteur en annonce une seconde, a surtout pour but d’établir l’authenticité des documens sur lesquels il a fondé son Mémoire.