Ce mémoire sera très prochainement l’objet d’un rapport ; nous ferons connaître alors les résultats qui y sont consignés.
« Que l’on se représente une corde tendue entre deux lames de métal ou de bois, à la manière des languettes des anches libres ; que l’on conçoive de plus que cette corde soit, à l’une de ses extrémités, ébranlée par un courant d’air, tandis que par l’autre extrémité, on puisse, en la serrant contre une touche à l’aide de la pression des doigts, la raccourcir ainsi qu’on le fait sur les violons et dans les basses, et l’on aura une idée des nouveaux instrumens. Ce sont, si l’on veut, des violons avec des cordes ébranlées par un courant d’air et sans archet. »
L’auteur n’a pas envoyé de description. Il mettra des modèles fonctionnant sous les yeux des commissaires. Nous savons seulement qu’il est question de machines locomotives et portatives.