que les distances zénithales, s’il y a erreur, aient toujours varié, comme l’exige le mouvement de translation de la Terre autour du Soleil.
On trouve dans ce mémoire les élémens d’une comète observée à Valparaiso, par le capitaine Basil Hall. Cet astre, avant son passage au périhélie, avait déjà été aperçu en Europe.
des Irish Transactions.)
L’objet de ce mémoire est clairement indiqué dans ces quelques lignes, que je me contente de traduire :
« La nutation solaire, déduite de la théorie, est depuis long-temps appliquée par les astronomes à la correction des observations des distances polaires. Sa valeur est connue dans d’étroites limites, et son maximum, pour les distances polaires de toutes les étoiles, est d’environ 0″,5. C’est moins, comme on voit, que les quantités auxquelles je suis arrivé pour les parallaxes de certaines étoiles. Si donc je parviens à déterminer la nutation solaire, il en résultera que mes observations sont assez exactes pour être employées à la détermination des plus petites quantités.
» La nutation solaire passe, par toutes ses valeurs, deux fois dans l’intervalle d’une année. Il semble donc impossible d’admettre qu’une cause d’erreur qui altérerait mon instrument de manière à donner des apparences de parallaxe à des astres qui en seraient dépourvus, puisse conduire à une détermination exacte de la nutation solaire. »
Voici quelques-uns des résultats obtenus par Brinkley :
Par les observations de la Lyre :
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Nutation solaire |
0″,51
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Constante de l’aberration |
20,35
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Parallaxe |
0,57
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