qu’il soit nécessaire de recourir à aucune des théories de l’Algèbre supérieure.
L’utilité qu’il pourrait y avoir à introduire ces notions dans les traités de Géométrie élémentaire ; la question de savoir comment les anciens n’avaient pas découvert la division en dix-sept parties, donnent lieu entre MM. Poinsot, Ampère et Libri, à une discussion dont nous nous abstiendrons de donner en ce moment l’analyse, puisqu’il a été convenu qu’elle serait reprise à l’époque où M. Ampère lira la note qu’il s’est contenté d’annoncer aujourd’hui.
Dans la note présentée dernièrement à l’Académie sur l’œuf humain, M. Coste citait M. le docteur Thomson comme garant de l’exactitude des faits sur lesquels il s’appuyait. Les principaux de ces faits ayant été depuis niés par M. Velpeau, le docteur Thomson a regardé, dit-il, comme un devoir rigoureux de rendre compte des vérifications auxquelles il avait soumis les observations de M. Coste. Le travail du médecin anglais paraît devoir se composer de plusieurs mémoires. Celui dont il a été donné lecture aujourd’hui, renferme principalement la critique détaillée d’une partie de l’ouvrage de M. Velpeau. Sa conclusion générale serait « que la question des âges des œufs étudiés, reste encore à résoudre. »
La séance est levée à 5 heures.