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LES PANTINS

C’est ce qui me désole (bis) ;
Mais quel plaisir quand, sans façon,
Un grivois travaille mon con :
C’est ce qui me console (bis).

Un gros vit me donne des lois,
Et quand je n’en peux faire choix,
C’est ce qui me désole (bis).
Mon con, toujours prêt au combat,
Se livre au prêtre et au soldat
C’est ce qui me console (bis).

le compère mathieu.

Eh quoi ! des prêtres aussi…

gosset aînée.

Eh ! pourquoi non ! Je ne me suis jamais arrêtée à l’habit : vit d’hercule, couilles à la grenadière peuvent se rencontrer sous la soutanelle d’un ratichon ; et pour foutre j’aimerais autant le vit d’un porte-Dieu de ma paroisse que le bracquemard d’un capitaine qui ne banderait qu’à force d’art