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LESCISÂSSIQUES AUFAUBOURG Mme Séverine célèbre Corneille à Montparnasse tommel’QtSéon,cetteannée,n’apufêter l’anniversairedie’Corneillle,larivegauchecependanta renduhommageaugrandpoètenoranancî, etc’està Bobinoqu’aeulieu.cettecérémonieannuelle. Pourlacàtroonstance, lescaI’cooc’ontjoué deuxactesdieL’Illusioncomique,unedespremièrescomédiesqu’écrivitCornea’Me avantde se révélerlepuissantaufte-urduCid,et Mme Séverine,dansuneoonfél1MœvraimentéducsBCrdice-, poufleptkbQitquil’écoutait,retraçala lVIiedeceluiquiatoitlagloiredenotrethéâtre. Bilerappelasesmodestesdébuts,lesdéboires qui1’"assaillirent duranttourtesa vie,lamalchance, enunmot,quinel’abandonnajamais, mêmeaprèssamort,et MmeSéverine,spirituedilememt, évaqruaLesdifficultésqui.entourèrent l’érectiondelastatuedeCornerlleauPanthéon-, NaturellEffraent. et commeil fallaits’yattendreunpeu, certainsspectateurstrophabitués taurépertoirehabituelde Bobino,acceptèrent imallescitionsdontlagrandeconférencière émai.ïlasacauserie. Mais,aiuucapplaudissements delagrandiepartiedefutsalle, elletinttête,fièrement,auxperleurwmum.

! - J’.admern :is 

bien,,dit-eilile,pouvoirdirequiil n’<yapasuncoindeParisoùCorneillen’apas étéentenduavecémotionet respect. Pillés : —Sesversvalentmieuxquelesromans IIeUlilLlerons decertainsjournauxoùvoustrouve ? diebassesdistractionsauenousentædolllsrem.. (placer,-ici,parlasainebeauté. LesuccèsdeMmeSéverinefut,néanmoins, trèsenthousiasteet le rideause levasur ’l/IllusioncomiquequeMM.deLyilte,Andréas, Ooudere,LouisClan,MilesCistaDarfeuil, Suz.DarbyetsurtoutMilleYvonneNoria,jouèirontavecuneconscienceet uneintelligencî méritoires. Bt,pourcompléterlacérémonie,MM.Lucien Gumpclet L.Aressyécrivirentunà-proposqui metenscèneCorneilleassistantà larépétition, desa premièrepièce,Mélite.Cetacte,tres ; adroitementtraité,amusafort,touten célébrantcommeiJconvenaitla gloiredugrawi. poète. -. - HUBERTGENIN. Conférences et Auditions AujourePhui

Lundi15juin1914

INSTITUTCATHOLIQUE DEPARIS,75.ruede YjmgiraJ’d. —A5h.i/i : .M.Piat :«Natureet RôledeifaLibertéMorale : LeDéveloppement delapersonnalité». lUNIVERSITÉ POPULAIRE (Sallede1Odeon)- A •8h 45 M.Jea.nCharcot : «AuPÜleSud,’ (a-vecprojectionscméniatograpliiques). - Dans SeFoverdesTableaux : M.GieorgesYvetot : «.L’InstinctdeSolidaritéM. LEPARTHÉNON, 11bis.AvenuedeSuffren.—De 4h.i à5h. AuditionPoétique. De5heuresà 6heuresAuditionmusicaleet tlpamaticfue deMmeLacombe-olivier, del’Opè- • ï3 ;MM.Ctambon.del’Opéra :.JacquesGuHhène, delaComédie-Française

.TeajiTsibiio,du

-ThéâtreImpérial :MmesBrumarias,Jeandot, aiéau,desGrandsConcerts. A6heures :M.JeandelaHire : «DesVoya. ; g-esetdesAmours»(2°série) A l’Orphelinatdes Arts Hier,aieulieuàlaSorbonnelabellecérémoniedel’assembléegénéraleetdeladistribution desprixde l’Orphelinatdes Arts-Fraternité Artistique,soushiprésidencedteM.JeanRicheipin, del’Académiefrançaise,etdeMmePoilpot, présidentediel’OrphelinatdesArts ;fête touchantequiréunitdansunemanifestation grandiosetoutel’élitequis’intéresseà l’artet auxenfantsdesartistes. Unpublicd’admirateursœ rŒulllreemplissaitlasalledielaSorbonmeetaapplaudifréné- tiquementle rapportsi attendrissantde Mme Poilpot,faisantpassersouslesyeuxtoutela viedel’Œuvreetdiesenfants : ciliésetgarçons, L’entrée,des110petitesfilleset.petitsgarçons aétéL’objetd’uneovationémue.Lediscours.die M.JeanRichepina étéacctaiméparunesalle endélire ; il estimpossibledieparleravecplus d’éloquenceetplusdecœur.Unieallocution, de

M.Poiipot,présidâtdelaFraternitéArtistique,

qui.a parléavecbeaucoupd’émotiondespetits garçonsd’artistes,a été«Sualeureuseument ap- plaudieainsiquel’erapportfinancierdeMme Scaiiai,vicewprésidente., 5.500francsdelivretsdiecaissed’épargne, donsdesmembresduComitéetdesgrandsamis desenfants,ontétérépartisentrelespetites fUIesetlespetiitsgarçons. Lamédailled’or,offertepairMmePoyeta étédonnéeà MlleMarie-Louise Ponteeorvoet lespalmesd’argent,offertesparMmeSuton, ontétédonnéesàhuileMarie-Thérèse Cimier Unbrillantconcert,dontvoicileprogramme’ eermàntaat lacérémonie

PoésiesditesparM.Mwnet-Suffly, doyen,de laComédie-Française ; M.JmlesTmffieretMlle MadeleineRoch,delaComédïie-Fran,çaâse

Mille

Nicot-Vauchelet, del’Qpérar-Comique, accompagnéeparM. FernamdiRivière- M RislerMlle Magdeleine Godard,l’imcompairable violoniste ; M.Sene,li].,ténor-solodesConcertsColonne ;un fragmentdu,balletdePirouettes,deGeorges Marner,régléparMmeMalriiqiLlJita, dansépar MlleSonnaPavioffetM.Quinaulit,deJ’Oipéra-Comique, accompagne parM. AdrienLSTV ; MMeLyseBerty,danssantrépertoire

Mlle

LorenzaMario,dianssesdansesavecaccomcagnîementdevioloncelle, parAtAlfredLyon-M. GabrielFrère,delOcSéotn-, etliaidiédicieusc opé- -retted’Offenbach :LesCharbonniersinterprétéeparlesamateursmondains

MmeVaucaire

tebaronDespatys,MM.PauldeCoobe.rti,n et PaulJoanne,accom’pajgnée parM.Pickaërt Petites Nouvelles des Lettres et des Arts AUJOURD’HUI

GrandPalais.—Salondela Nationale.(Hn ’ée : 1franc).—SalondesArtistesFrançais SalondesArtistesHumoristes, PalaisdeGlace MuséedesArteDécoratifs. —ArtDécoratifan •liais GalerieGeorgesPetit,8, :ruedeSèTfi.- Exposâtiai. RenéMénard(du15juinau15juillet). GALERIEHESSÈLE, 1G.rueBalzac—Expos) tfonde^portraitsd’actrices,deRachelàSaraîi fiernhardt.auprofitdel’ŒuvredeRapatriement Prixd’entrée : 1franc.- TouslesvendrediFlvi’ o’c.lordcmusical. GalerieReitlinger,12.rueLaBoëtie.—Lesdeu, Ecoles : Peinture,Aquarelles, Estampes. Aujourd’hui s’ouvre,à la galerieGeorges Petit,l’expos¡ ;tü :on RenéMénard. 1t* Aujourd’hui,à lagaLerieManzi,s’ouvrel’expositionrétrospectivedél’œuvredeToulouse- Lautrec. A.W. A.W. ÇAûLA Repiârocis unoubli.MiteRieharvot,élèvede M.Chève,a obtenuunedeuxièmemédaillede piano. Masic-HaIls et Cafés-Concerts AVECARMES ETBAGAGES. "— Letriompha :!succèsdeL’Orgieà Babyloneestencoreprésentà touteslesmémoires. Lacarrièredel’étincelanteopéretted’Edouard Adeniset RodolpheBergerfutinterrompuepar ia nécessitéoùse trouveM.JeanFabert,lié pardestraitésantérieurs,demettreà lascène larevue(Cachetonnu !),L’Orgieà Babylone vaireparaîtresurVaffichevendredi,prochain. C’esta l’Olympequ’auralieucettesensationr nellerésurrectiondecebrillantouvragequi retrouvera.auBoulevard) danslesdécorset les costumesdelacréation,,lavokifptueuse miseen scènedeM.Buçourt,laiparfaiine exécutionorchestralequedirigeraM. RaphaëlBarettaet uneinterprétation horsde ;pairavecà satête MlleCesbron-Norbens, M. Urban,M.Martinletlti, M.Hemdey,MilleMinniMonnieretMlle GermainWebb,cependantquelabelled’Herlys reparaîtraautroisièmeacte :,dansl’atmosphère. ¡trou.blante desdansessacréesduTempledeBaal. Lalocationestouverteà l’Olympia(Téléphone Central44-68)pourcesreprésentations pour Lesquellesletarifdes placesest le :suivant : Fauteuilsd’orchestre,5 fr. ; fauteuilsdebalcon, 4et3fr. ; promenions. 2francs. sCALA. 1 Dix-huitscènesoù l’observationaiguë. l’ironie,lafarcele disputentà la plusalerte fantaisie,dix-huitscènesdUplushautcomique interprtéesparlesmeilleursartistesbelges ; Nos9enit,Léopold,DuPrez,Murio,BlllyPitt, l’incomparaiblia FernandeDumont,la danseuse étoiileOpaiLfvens, l’élégantcompèreValreyetla sicharmantecommère.Brésinaettoutunbataillondejeuneset trèsjoliesbelges,voilàcequi expliquelegrandsuccèsremportéchaquesoir à ] :a¡Scaliaparlafameuserevuebelge :Viens profiteïavec,quiprovoquenttroisheuresdefou rireininterrompu. BA-TA-CLAN.. Montésurson ;nursjro RaTnClan Gédéon-Gueulediem peigne,grandfavoridesfoules, agagnéhierlegrandprixduJockey-Club. enp. irouettant.et commeondit,dansun fauteuil.ousivousaimezmieuxdiapsunestraipontin, sonfameux1terquiInekquittejamais, etsurleqweLilapplaudittouslessoirslaplus gale,la.plusamusanteetlaplusmagnifiquerevuedeParis. Tél.Roquette30-12. EMPIRE. -*- Non ! cen’estpasduciné.Cesoirlundi, pourlesreprésentations dieM.GastonDubosc : MiquetteetsaMère,comédieentroisactes,de MM.R.deFierset G.-A.deCamiIDVet, avec MM.E.Bouchez,S.Fabre,MilesJ. Loury, Fontanges,etc.Inuitiled’insistersurl’attraitde cesreprésentations. M.RobertdeFiersa du, resteassistélui-mêmeauxrépétitionsdirigées parM.Lespinasseet s’estmontréabsolument ravidel’interprétation et delamiseenscène. CONSERVATOIRE de la CHANSON 30, Rue Dupèrré, 30 -- PARIS , IIP’I Pourdevenir uneétoilede nosMusic-Halls (ldressezztJousil M. MÉVISTO Aîné Lundi, Mercredi et Samedi, de 2 à 5 heures COURS’ : 30 francs parmois Cocons particulières & .,¡¡"" Ciné ma ?fo^Vaphes’ SURECRAN Petitspavés Unjournaliste,principalement celuiquijustifiece nomen pondantson articlequotidien, doitrenoncerà contentertoutlemonde.Et c’estuneveinequece désaccord—trèsnaturel, trèshumain— avecseslecteurs,veine qu’ilexploitepourdonnerà la foisdel’essor à sonesprit,à sesidées,et dela variété à sa rubrique,éelle-cifût-elleexclusivement consacréeà tinsujet,à ungenre.Voilàmoncas. Eperdu,enragé,ravi,je cinématise.Qu’on mepassele mot.Essayantderemuer,malgré le cerclerestreintetspécialoùjemeconfine, leplusd’idées,possible,d’amenerau dieu Cinémaunplusgrandnombred’adorateurs, toutenexprimantdevantsesprophètesmalibre opinionendelibresparoles,j’explorelechamp cinématographique. Mafranchises’yplaîtdélicieusement. A chaquepasnaissentlesfleurs. Tantpispourmoisi jenesaispastoujours en fairerespirerle parfum,j’auraitoujours indiqué.inlassable,j’indiquerai.le jardinqui lesvoitéclore,lesbouturesqu’onen peut tirer.l’horizonensoleilléquilesferagrandir. Cecidit surle jardin,arrachons-enles pierres.Nombreuses,ellestombent.Cesont toutauplusdepetitspavés,lancésparfoisdans unebonneintention.Donc,douxenfer !Pourtant, unlecteur,hier,voulutmelapider,un dimanche !Et voilàle tombereaudecailloux que.surle coindemonécran,ildéposa : « Je nesuispaspluspourle théâtreque contrele cinéma.Maisvraiment,c’estagaçantdevoir, dansunjournalcommeComoedia, faireunélogetellementexagérédumoindre film,delapluspetitebandeetdeladernière applicationcinématographique. J’admetsque vousprotestiezaujourd’huicontreunimpôtde deuxsous,réclamépar Bordeaux ;demain, coniff-ledroitdespauvres(etpourtantlecinémaest millionnaire !) Vousrestezprofessionnel, corporatif.Vousnevouscontentezpasdecela. Vousvoulezfourrerpartoutle cinématographe ! Toutle mondedoity aller,tousles métiersneprospérerontques’ilss’enservent, l’enseignement serainutiletantqu’il.n’emploiera pasle cinéma.Vousréclamezunmusée, unebibliothèque, uneestampilledefabrication pourempêcher—croyez^vous

? —la copie 

desrobes.C’estabsurde,c’estidiot,c’estd’un espritétroit. <(Voilàquemaintenantvoussupprimezcesjoliesmanièresdelaprésentation, danslessalons, dujeunehommeà unejeunefilleenvued’un mariage.Vousdonnezl’idéedecréer,avecce truc,uneagence.Ayezdonclecouragedevos combinaisons

c’estunedecesdamesquifous

a chargédefairedelapublicitépoursoninstitution. » Arrêtonsnousici.Cen’estpasque« l’engueulade »longueencored’unepageetdevingt stupidités,megêneà publier,quoiquecetrès singuliercorrespondant m’aitdélié« d’écrire unarticle»avecsaprose.Ceseuldéfinem’eût. pas,faitmarcher.Je voulaiscependant,montrercettementalitédugrincheuxinintelligent, aussià medéfendrecontreuneétroitessede vues—etdeprisedevues—mechangeant encinémonomane quinie tout,horsl’artde l’écran,le théâtre,lemariage,lavie,et qui prétendquelecharme,l’utilité,l’existencedu mondeentiernetiennentqu’àunfilm. J.-L.CROZE. Le Cinéma au Châtelet DansleCourriercinématographique, M.Ed- mondFlourydontonn’apasoubliélabrillante directionduChâtelet,ensociétéavecsonfrère, racontecomment,bienavantqueLAiglon triomphâtdanslavastesalle,lecinématogiraphe, alorsà sesdébuts,y tentaune49sespremièresexpériences. ((Lapremièreapplicationducinématographe authéâtresefitjustementdanscettesallede spectacle ;c’étaiten1896,versliemoisdenovembre, lecinématographe venaitdefaireson apparitionsurlesboulevards. «Onmontaità cetteépoquecommed’habitude, envuedesfêtesdujourdel’an,une féerie : LaBicheaubois,delégendairemémoire, unedesscènesnoUiVeJa ;es devaitreprésentercequisuit : Ungrandsénéchal,pour avoiroubliédeconvoqueraubaptêmedesa petiteprincesseuneféeimportante,estaffligé parcelle-cidetoutessortesdetracasseries,entreautresunemoucheinvisiblele harcèleà chaqueinstantet finitmômepars’introduire danssonappendicenasalavectoutesafamille ! Heureusement, uneautrefée.touchéedeson infortune,M prometdele délivrerdecette importunité ;ellefaitdesconjurations

lenez

d’usénéchals’allonge,grossit,prenddesproportionsgigantesques etbientôt,paruneénormeverrue, placéeau faîte,on voitsortir, commed’uneplaqued’égout,toutunessaim delibellulesreprésentépardejeunesdanseuses quiexécutentdifférentspassurce nouveau perchoir,mais’Uniecartouc-hededynamite,en explosant,détruitlesgentillesmoucheslesquellesdisparaissentdansunnuagedefumée. «C’étaitpourreprésentertoutecettescène quel’oneutrecoursaucinématographe. « L’artiste,chargédurôledugrandchambeiHan, seplaçaitaufonddudécor,de.profit, l’obscuritéétaitfaite,puisl’onvoyaitsurun écrandefortedimensionleniezdupersonnage s’aMionger etgrossir ;ceciétaitobtenuà l’aide d’uneprojectionfixeet bientôtlecinématographe, bienrepéré,faisaiitapparaîtreà sontour toutelascènequenousvenonsderelater. «Acemoment,onnedisposaitpas d’egrandesba’ndes. Celledontilestouestionavaiten toutet pourtout35mètresdelongueur

! di- 

mensionénormepourl’époque.Il avaitdonc fallurépétertrèsminutieusement toutecette petite.pantomime etlachronométrertrèsexacrement, cequifuitfaitparlemaîtredeballet. Aprèsbiendesrépétitionssurlethéâtremême., lorsquel,etoutfutbienaai point,onaménagea pourlaprisedevuesdece petitdivertissementunescènespécialesurlaterrassesituée toutenhautdiuChâtelet,sorted !eloggiaqui sertde’promenoirdécouvertpourlespertes places,caronnepossédaitpasalorsdesateliersdeprisesdevuesperfectionnés commeaujourd’hui. Surcettescèneminusculetruquée, parfaitementéclairéecarunbeaumatin.,à dix heures,fuittiréecettephotographie animéesensationnelle, ausond’unorchestreentraînantet’ bruyantquis’entendaitdiellaplaceduChâtelet, cequi :fit quetouslesbadaudss’arêtèrent,levantlenezenl’air, etregardèrentcenouveau spectacle,inconnujusqu’àcejour,formantun aatrouipement à unpointtel,quelacitcuilation futun.instantirterrompue. «Pourlapremièrefois,cettebande,unique, futmiseencouleurs.EllecomportaitmiMeima. gesdontlesdimensionsétaientde0,035sur 0,045,beaucoupplusgrandes,parconséquent, quecellesd’aujourd’hui. «EdmondFIOURY.» INFORMATIONS AParis-Ciné.

  • -*- Laremarquable

séried’artprésentéecette semainedanslajoliiesallede’p.aris-.CLné, 17, BoulevarddeStrasbourg,obtientunsuccèscomplet. Lafoulesuccèdeà lafouleet lesapplaudissementsauxapplexammmss. Il nepourrait enêtreautrementavecleprogrammerMnarqtUtbblequicontientNéronetAgrippine, reconstitutionhistoriqueà grandspectacle ;Pathé-Journal, dernièresactualités

LaFilleduGarde-Chasse,

drameentroispartiesd’aprèslapièce théâtraleRigadin,mauvaisouvrier,scèneultracomique, jouéeparPrince.,etc.,,,,,,powàdler Onferadoncbiendese hâterpouraller admireret applaudirunspectaclesensationnel quidonne-troisheuresd’émotionetdegaîtécar il ylaui»s^liecombleà Paris-Cinéenma&iivêé etsoiréejusqu’àjejudi.18juin,dernierjour4ç. cepax^amme'forni'iiiJiail>ie., -« PROGRAMMESV Crandl0UFAYEL .«S-S ? Maga.ml et -~j Touslesjours,de4 taures& o dlmaDebe ;-* - NOMBBEliSbS

ÏIONS. ,— OMNIA-PATHEtA$),-BoulerardMontmartre (àcôtédesVarlê^fiî Plusbeauetje plusélégant ; lesvues lesplusvariées.- Changement depr°£rsia"1 vendredi.—orchestreEmileBaetens.sansInterruptionde 2 heuresà mtnu1.1’ ca progra.m.me deeettesemaine : LecaId rJ. leedel’Egypte.- Pathé-ilournalsC£ vallesdumondeentier),—LeChienfidéle50 comique.- LesAlpesDauphinoises, Pj ;Lijto< NéronetAgrippine, grandereconstitution "-ni)) !’ - Rigadin,mauvaisouvrier,parPrin*#che, l’eflIMNéronetAgrippaseraremrt.P unescènedramatique, L’Escalieraort, THEATREDUCHATELeT (SaisonCinenu.toffraphiqu«) .Té..lé.ph. one.102-87.- PourlaP^ièr*f. !,aSj, Mma.à 8h.3/4 : L’Aiglon,le( :Iief_d’ceufM’ njondRostand. MatinéesJeudisetDunan.hM.à2j !.J~" GAUMONT-PALA CE(HIPPO :DnOlgo.), A20h.30 : QuoVadis ?avec.soli.fh~~p~ oliestre(centexécutants). —LaVoix60 grandfilmpatriotique.—Nouvellesm10 sesvuesencouleursnaturelles,parle«J meGaumont».—Attractionsvariées. Locationdeildl.à17heures.—Tè cadet16-73. TIVOLI-CINEMA’1'el !1~~ H.ruedelaDouaneet19,faubourgdA,u«J. f -Touslesjours : Matinéeetsoirée.-tisi1 Téléphonem-M.—L’Hommeprimitif.luV œuvresducéllèbrephysiologiste Darwin„jiiî’. Ramoneursdola Valléed’Apste,dsatn*.drill", vaut.—Laduchessed’Aiglemont, coraM&sM s tique.—AuTempsdesCerises,fine Merveilleuse adaptationmusicaledes deJr’ Mozaaot. Beethoven. Massenêt,Oliopin,y fitc-- Spectacleunique. CINEMAX 30,boulevardBonne-Nouvelle. - Auprog Untableaudemaître.—LaFilleduOar&Luf - Rigadinmauvaisouvrier.- NéronetWry - Pathé-Journal. PATHE-JOURNALo,,~ 02/4,bKoul,evard1-cissonnière. - Touslesnoo filmsdeMaxLinder—Le*actualitésheure, Faqteuil : 50centimes- De2heures8}H>S PARIS-CINE4 17,boulevarddeStrasbourg.—Riga^if.r vaisouvrier.- NéronetAgrippine-- Uti demaître.- Pathé-Journal. —LaFilledU chasse. ,"^^4-LUTETIA-WAGRAM AvenuedeWapram.—Cettesemaine. :„rJ Marc-Antoine etCléopâtre, lefilmleplue-e. nelparuJusqu’àcejour.—Grand’e. phonique.—BacohusetCupidon,COil dinZoologique deNew.YQrk, instructif.’TjrftJ treultra-futuriste,scènecomique.—<aw’ Cabreetà Karwenden. - Attraction.—J 8h.i.—Matinée.jeudietdimanche.J Location

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33,boulevardduTemple.—AupfotP" L’œilduDiable.—OlgasceHoff.~<~~ PATHECLUNY 60,r.deeEcoles.—Programme

Le ut taJedel’Egypte.—Pathé-Journal (tou^4iTf vellesdumondeentier).—LeChienâV comique.—LesAlpesDauphinoises, ï&Ssfâ NéronetAgrippine, grandereconstitution ~t~ - Rigadin,mauvaisouvrier,parprincenûp che,lefitonNéronetAgrippinesera unescènedramatique, L’EscalierdeI -~ PALACERASPAIL 91,boulevardRaspail.—Au progr*®*^S sieurLecocq. KINERAMA-THEATRE i4fi/ 37,boulevardSaint-Martin. —Néronet —Rigadinmauvaisouvrier.— Pathé*» ?; r/ LaFilleduCarde-chasse. - Untab,e¡aLl CINEMADUPANTHEON,’ 13,rueVictor-Cousto. —AUprogr Vacquero.—NatPinkertonà Pégo>ne%X CINEMADESMILLECOLOWj 20,ruedelaGaîté.- Seigneurde1.y L’Alibi. 1 VINCENNESPALACO,Or y RuedeParis(Vincemtoest. - Au ;tr a Monteurchasse.Jpi patientezunpeu.Maismontrez-moi machmnbre (Sortie.Malitorne.porte,enlaprécédant,le manteau etlevoile.) SCENEV MONROSE, LEMARQUIS

MONROSE ,Hum !hurii !caparfuan-là,demusc,d’irisoud’ambre, Morbleu,jeleconnais ! , LEMARQUIS, poursortir,seheurteà Monrose Monsieur,danscepays, Onnebrutedoncpasdechandelles ? MONROSE, avecungrandsalut Marquis, J’étaisailrégimentdeMonsieurdeVendôme. Je vouscherchaisdepuisRosbach.Maisvoyezcomme Onsei£trouveenfin !.LEMARQUIS Vousêtes. ? MONROSELesergent •fMonrose.Etjereçusdevouscertainargent Quecesdamesdepiqueetidecœur,têtesfolles, Ontcroquésatistambour.Monsieur,de Cerisollea, Jevouscroyais,bienmort. LEMARQUIS Je vouecroyaisdéfunt. MONROSE Et jevousqiplewré.Jevoustrouve,auparfumy Commeà RosbachtoujoursvousenchaînezLesâmes ? Onvousdisait,monsieur,trèsheureuxparlesfemmes. LEMARQUIS Jesuisbiendégoûté,desfillesd’Opéra. MONROSE Vous,en étiezféru.Maisquivivra,verra. (Ilvaregarderà lafenêtre.)c-Iggrdel~une, ’Cecocherenversé !L’effet,-aucl^irdelune, Estsuperbe. , E~wperbe. LEMARQUIS Hportait Méropeet safortune. MONROSE Sursesflancslescharronssontautantdefourmis. Enétatde roulerbientôtil sefamis, - EtpotlltTa,dansunbruitdeFouetet declochette, Repartir.Il rendraMéropeà sonpoète. LEMARQUIS EUemériteraitqueje lalaisseici ; MONROSE Vraiment,vousm’étonnez.Unefemme ! LEMARQUIS Maissi, Carcettefemme-lidépasselamesure. - MONROSE Vousfaitesftdevoirlafindel’aventure, Pourreprendrele coehe,et9-ler ? LEMARQUIS Oui.le crois. MONROSE Quelestlennodecettedame ? LEMARQUIS Ducnesnot.. MONROSE pjjetaitBérénice ?LEMARQUIS Andromaque.Athalie. Ellea chaussé,mafoi,lesoulierdeThalie. MONROSE, gravement,’aprèsréflexion iRseprenez votreéipéeet laissezsonmiroir. iMarouas,unbonconseil.Repartezsanssurseoir, LEMARQUIS, amusé. IMaispourquoi ? MONROSE Raroeqme. LEMARQUIS Çà,monsieur,l’onn’épouse QueBilenoble,étantdienoblesseWouse. Lenuptialanneauqu’oopasseà quelquedoigt, Sansdéetoodrneva.pasà lamaîtresse. MONROSESoït. Maisla coquetteestfine. Soit LEMARQUIS Unmariage,pestef len’avaispassongé.MONROSE Sansvousdirelereste Quevousdevinerez.LEMARQUIS Haissanspe¡n,. MONROSE Parfait ! Cocu,cecin’est-pasdebelair. LEMARQUIS Eneffet. CarMolièrelefmtl MONROSE Donc,faitestablenette Detoutcequin’estpasuneaventurehonnête. Mettez,à toutceci,lepointfinal. LEMARQUIS Comment ? MONROSE, péremptoire Comment ?Enachetant,monsieur,monrégiment. LEMARQUIS Oh1 MONROSE MonsieurdeNangisveutLevendre. LEMARQUISMais.diame ! Cela,sergent,mecoûterait ? MONROSE Moinsqu’unefemme. LEMARQUIS Avectousleschevaux ?MONROSE EtlesergentlaFleur, Lebeaugarde-française, avecl’Ecornifleur. EtlepetittonneaudemadameConstance. Milleoucinqcentslouis,c’estdepeud’importance ! LEMARQUIS ViveDieu !deNangismeferacolonel ! MONROSE Oui,carmangersonbiennepeutêtreéternel.

LEMARQUIS Mais,à Paris,sarue ?,..MONROSE EstParcheminerie : Unemaisonavecuneportefleurie. Celieu,pourlesdévotsdediscretsrendez-vous, Setermineenimpasseoùsontdesgardes-fous. Onydanse ; ony boit ; lesneufMusesl’onMme Pourdeuxlouis,avecplusoumoinsdepoème. Allez-ydemapart. /Ir LEMARQUIS Leconseilestfameux. Jeifnesauve»*. MONROSE Enéchange,unservice. LEMARQUISTuveux ? MONROSE C’estpourunevertuquej’aime.L’orthographe N’estpasmonfort :je traceà peinemonparaphe. Avecun,motdevouspourcorserleroman, J’espèrebienmefaireaimer.,. (Ilvaprendresurlebuffetunflambeau,qu’ilallume, etuneécritoire,etleposesurlatableoùl’onboit.) LEMARQUIS Mailsenamant, Toi,lachoseestbouffonneautantqu’inattendue, Cetteflgphed’Eros,eUet’étaitbiendue ! l MONROSE HéJas !maismonbillet ? LEMARQUIS J’ysonge.EtsituFes ? (Ilécrit.) MONROSE Héquoi ? LEMARQUIS Cocu. MONROSE CocutL’on’envitde pluslaids Quinelelurentpoint.Sijelesuis,sansdrames, Vousferez>unpamphletsurlavertudesfemmes, Sanscris,delamêmeencreetdumêmepapier. Etlerêved’unjouril faudral’expier. LEMARQUIS, luidonnantla lettre Souvent,pourlesbeautésqu’aupassagel’onfrôle, Lesuavemensongea suremplirsonrôle. «  Tiulaluiremettras.MONROSÈ Surl’heure ! LEMARQUIS Adieu,moncher. LecocSedeThespism’invite. MONROSE Il faitplusclair. Vousy dormirezmiteuxqu’aulitduvieuxBonhomme Enfaisantunefin.Toutcheminmèneà -Rome. (Ill’accompagne, enagitantd’unairnarquoisettriomphantsontricorne. ) SCÈNEVI DUFRESNY, Seul. (Il allumeaveclejlambeaudeMonroselescandélabressurlatable. ) Ilfauttoutallumer.Je pourraimieuxlavoir.. Ilsvontdîner.Maisilfaisaittoutà faitnoir. Onnedistinguaitpluslesassiettesdansl’ombre. Cettelunecuivrée,àF’heureoùtouitestsombre, Faitpleuvoirdel’orrouxd’unmystérieuxciel. Allumons !Allumons !Voilàl’essentiel ! SCÈNEVII DUCHESNOIS, quirevientdesa chambre,DUPRESNY : àlafin,MALITORNE DUFRESNY Jegagequ’elleestbelle. DUCHESNOIS Et.sansdoute,fortbelle. DUFRESNY, la’voyantetlareconnaissant Oh !. DUCHESNOIS Cetétcwrnement ! DUFRESNY Bérénice,c’estelie ! DUCHESNOIS Vraiment,vousconnaissezBér.éniœ ? DUFRESNYUnefois Jel’aivoue,ettoujoursensongejelavois. DUCHESNOIS Bravo !Vousl’aimezdonc ? DUFRESNY Jel’aimeeneffigie ; EtcommeTiteà Romeenailanostalgie. DUCHESNOIS C’estbienparlé,monsieur,maisfortimpertinent, Jenevousconnaispoint. (Untemps.Avecuneinsolenceironique.) Tues ?. DUFRESNYIncontinent, Unoiseleurdivinderimesetdesonges, Unfabricantd’azur,unfaiseurdemensonges. DUCHESNOIS Attendez-vous, cesoir,lareinedeSaba. L’empereurdeByzanceoudeMonotomba ? Carcesflambeauxm’ontl’air,dansleurroseincendie, Den’êitrelà quepourtouerlacomédie. Monsieur,,lamiseenscèneestépique. DUFRESNYC’estpour Donnerà cesclartésle soind’ungrandamour. DUCHESNOIS Maisilbrutesiloin,etsi’haut,quecegeste Estbiendufeu perdu.DUFRESNY Soit.L’intentionreste. DUCHESNOIS, à part. Cen’estqu’unpauvrefou. , (Haut.)

Queveutdirececi ? DUFRESNY Qufâmonrêvequimarciheasalumièreaussi ! Au.fait,ai-jebesoind’étoilesquandsonâme Oiuifiltredesesyeux,meversepLusdeflamme ?, Cesmauvaislumignonsvalent-ilsleregard Qu’ellecouleversmoi ?.DUCHESNOIS Quiest-ce ? . ; DUFRESNYLehasard, Préparateurdivin,deschosesdelavie, Arencontrémonespéranceet l’aservie ; EtpourmefairevoirBérénice.cesoir. Monamourmesuffit.Ilmesertdemiroir. DUCHESNOIS Vouspartezbien.Oh !oui.commeàlaComédie Maissouventle hasardestpleinde perfidie. Ettenez,samaliceénorme,encemoment, VousmontreBéréniceetlehasardvousment. DUFRESNY Quenonpas.J’aidesyeiuxd’amantetdepoète. Celasuffit. DUCHESNOIS C’estpeu. DUFRESNY Carjevoissur satête Brillerunecouronne.DUCHESNOIS Enverreet deciartofl. Bah !. j’ysonge.C’estpeuit-êtrela Clairon. Maisvouslavîtes,quand ? DUFRESNY Ilyadeuxannées ; Etc’estdepuiscetempsquemesodessontnées. DUCHESNOIS C’étaiitenjuin ? DUFRESNY Enjuin : unsoirsplôAdiidie etdoux. Uavaitalluméseséteins-pourvous. DUCHESNOIS, railleuse Oupouruneautre.. DUFRESNY Non.C’étaitpourtoi,jegage.. Uned’entreellesmêmeétaitsurtontèsage, Etlesquinquetssemblaient aussilesyeuxduciel, L’airbleuflottait,léger,pilaind’immatériel. DUCHESNOIS, commeenrêve. Jemesouviens.C’étaitmondébut. DUFRESNY Toutdesuite, Quandjevousvis,je fusamoureuxcommeTite. DUCHESNOIS Etj’eus,lesoir,unemontagnedebouquets. DUFRESNY Unereineétaitniée.DUCHESNOIS Oui,aufeudesquinquets. MaistoutcommeClairon,etpeut-êtremieuxqu’elle, Jesusplaire,êtreamante,e.tautantqu’elle,belle. DUFRESNY Lesceptredecartonvautbienunsceptred’or. Qu’onsoiitactriceoureine,onestplusfemmeencor, Etcoquette.Et lesceptreestunbijouqu’onporte. DUCHESNOIS Donc,je vousplus.Jeplusà tous. DUFRESNY Demêmesorte. LareineBérénicea faitcouleridespleurs, DUCHESNOIS Sifadescompliments auxlèvres,nonauxcœurs ! Oh ! moiquipooirvousfuiraifaitplusdevingttiques, Jevousretrouveici ! DUFRESNY Mais,pourlesheuresbleues, Ouejevécusàvousécouter,àvousvoir, Soyezbénie ! DUCHESNOIS, à part. Ah ! oui,cequ’onm’aditlesoir ! (Haut.) Vousnetrouvâtesrienàcritiquer ;pasmême Uneattitude ? DUPRESNY Rien. DUCHESNOIS Votreindulgenceextrême Mechiffonne. DUFRESNY Mais.DUCHESNOIS Oui.vousnesavezjuger Quelabeauté.Mais.}’artvousdemeureétranger. DUFRESNY Pourtant ! DUCHESNOIS Vousêtessotdemecroireparfaite. Doublesot !ouplutôtvousêtesunpoète. Maisvoussavezbienmaltourneruncompliment. DUFRESNY, ahurietdésolé Oh !. DUCHESNOIS Fortmal ! MALITORNE, surle seuildelacuisine,portanturï<0 soupière.Trèsvite : Deservir,n’est-cepaslemoment ? Lapoulardeestbrûlée. (EUevaplacerlasoupièresurla table,àdroite.) SCÈNEVIII iDUFRESNY, MONROSE, DUCHESNOIS, MALITORNE DUCHESNOIS Alh1 bien. MONROSE, affectantunrespectempressé } MademoiseLle Duchesnois. DUCHESNOIS Lavoici. MONROSE, laprenantàpart C’estpqiurunenouvelle D’importance. La choseestd’unespritléger Etdebienmauvaisgoût,maiso-nveutvoyager. Donc,sansplus,ayantprissesouquesetsesc~* Lemarquisestparti.DUCHESNOIS Pouroù ? MONROSE Chezles1JJI"’f' Il-passeà l’AmériqueouvachezlesRussiens, Il vousfaitsesadieux,carsesregrets. DUCHESNOIS, hautaine LO MONROSE, bas Eliudonslecourrouxdek reinetrapue. (Haut.) IldoitvousrevenirbardédV>r,riche,étpiflt*’ DUCHESNOIS, allantverslesgensquiécoa Certes,toutceretardà Méropeestfatad : Lemarquischercheuncocheet ramècenec’," (Trèsdécidée,à Malitorne.) Jemange. MALITORNE C’estprudent.IlfautquietIon-d®_*0* DUFRESNY Amoinsquepourpartiril n’aJtquelquemoe DUCHESNOIS, Àpart

  • Sice soldatmenait.

(ADujresny,brusquement.) Ileststupideaussi ’l» semettreà l’enversliacervelle.Ceci ’Estbiendelui.Contrezluidirequ’ildétett®.u S’il a trouvelecoche,etqu’àpartirrebel»*^M ’Monhumeurveutqu’onsoupeet qu’oo,cOU"", ;nP"’ (Dufresnys’inclineet sort.Apart,eller sachambre.) Alhlmarquis,jet’aimais ! SCÈNEIX MONROSE, MALITORNB MONROSE CommedeuxOdto Moncœura débordéd’unejoieinfinie aDJ ;. Pourvous,tantôt.Ladhoseestloind’a*Mlod. MALITORNE, bourrue Quellechose ? ,,a MONROSEveut

, Onvousmande,etpuis1< ?veaVOO

MALITORNE Qui,mevoir ? MONROSBroll’ ¡ Duvisageestéprisleft2i".r !" Souwent.Pourlebaiser,<11n’estptos.j^owt. Onvousaime,onvousveut.Ceci,e188*c^ff.Jj. MALITORNE -L ~.ta 1.. : -I. :_ : ",¡cO L’instantestbienchoisi. , anM MONROSE, mystérieux,vavoirst PeTrtçû,^flfie jesuisunmnfi". Ingénu,quid’amourn’aquelevi$ger :--CequisepeutdonnermnstropseMnproffiwfe’ Untoutpetitbaiserquel’onprendPo, ’o ;~, MAUTORNE QUI ? Vouaêteseffronté.Maisvousparlezt<w MONROSEiD Mais.mais,vouslesavez,madame,a MALITORNE Celuidetoutà l’heure ? ) MONROSE ouiMALITORNB0’-'ú4IMonsieuf.t’heut8. UaimeDuictiesnois, celuidetouta MONROSE Quivousl’adilt ? MALITORNB pe¡tit(P" Quimel’adit ?¡¡YW"l, MONROSE Il a menti ! a MALITORNB 1’06yur".AÎ Non(pas.Onsaitce’lue MONROSE .troude , Cequ’onvoitestbienpeuparugcho&epiv Ciequ’onentendestmieux.11n’estchoe MONROSE ~ ? ,’, Pouvez-vous écouterà laportedU)coge ?. (Triomphant, agitantunpapior.) Unelettreconfondle.petit10{j ? MALITORNE, hésitantà-P***-Jenesaissi jedois,maisun ci’tetIP" Tantpis,lisons.MoncœurdeMI)enest MONROSE’11. , -,(NI !’à,rI", ParcourirunpapIercelan’engage : i