tions différentes, une pareille élimination a été jugée nécessaire. D’autre part, deux adjonctions eurent lieu, à savoir : le Comte de Sallenauve et la Famille Beauvisage, suites du Député d’Arcis, par Charles Rabou ; sans elles, il eût été impossible de compléter le résumé des existences des familles Collin, Lanty, de l’Estorade et celui de la vie de Marie-Gaston.
Selon Théophile Gautier, la Comédie humaine comprend deux mille personnages. — Le chiffre est à peu près exact ; mais, par suite des renvois, des surnoms, doubles noms, etc., il se trouve de beaucoup dépassé dans ce travail, où, néanmoins, n’ont point pris place, figures en dehors de l’action, Chevet, Decamps, Delacroix, Finot père, le fils de Calyste et de Sabine du Guénic, Noémi Magus, Meyerbeer, Herbaut, Houbigant, Tanrade, Mousqueton, Arnal, Barrot, Bonald, Berryer, Gautier, Gozlan, Hugo, Hyacinthe, Lafont, Lamartine, Lassailly, F. Lemaître, Charles X, Louis-Philippe, Odry, Talma, Thiers, Villèle, Rossini, Rousseau, mademoiselle Déjazet, mademoiselle Georges, etc.
En dépit des soins minutieux apportés à la composition de ce répertoire, il s’y est pourtant glissé quelques inexactitudes qui, pour la plupart, résultent des variantes des éditions de la Comédie humaine. Ces erreurs, par suite des nécessités du tirage, n’ont pu être corrigées à temps ; aussi les auteurs se font-ils un devoir de les signaler avec une entière bonne foi.
Page 19. — Barchou de Penhoën doit s’écrire Barchou de Penhoen, sans tréma.
Page 61. — Brébian doit être orthographié Brebian.
Page 119. — Ce ne fut pas madame Perrin, rivale de Coralie, qui créa Fanchon la vielleuse, vaudeville de Bouilly et de Pain, mais bien madame Belmont. — Dans la même biographie, on cite, comme vivant encore, Dupin, l’un des auteurs de Michel et Christine : Dupin est mort, au moment de la mise sous presse de la dernière feuille du Répertoire.
Page 129. — Les nombreuses vicissitudes qui traversèrent l’existence