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U

Urbain, domestique de Soudry, maire de Soulanges (Bourgogne), pendant la Restauration ; était un ancien cavalier qui ne réussit point à devenir gendarme, et prit sa retraite pour entrer au service de l’officier municipal (ex-brigadier de gendarmerie) (Les Paysans).

Urraca, vieille Espagnole, nourrice du baron de Macumer ; seule des gens de la maison de son maître, conservée par lui après sa ruine et son exil en France ; Urraca préparait au mieux le chocolat du baron (Mémoires de Deux Jeunes Mariées).

Urraca y Lora[1] (Mademoiselle), tante paternelle de Léon de Lora ; restée vieille fille, cette quasi Espagnole vivait encore en 1845, assez misérablement, dans une commune du département des Pyrénées-Orientales, auprès du père et du frère aîné de l’artiste (Les Comédiens sans le savoir).

Ursule, servante de l’abbé Bonnet, curé de Montégnac, en 1829, femme d’un âge canonique, reçut l’abbé de Rastignac, chargé, par l’évêque de Limoges, d’amener le curé de village auprès

  1. Mademoiselle Urraca, née Lora, a été néanmoins biographiée ici, le nom d’Urraca précédant celui de Lora.