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Japhet (Baron), célèbre chimiste, soumit à l’acide phtorique (fluorhydrique), au chlorure d’azote et à l’action de la pile voltaïque l’étrange peau de chagrin de Raphaël de Valentin. À sa grande stupéfaction, le savant n’obtint aucune modification du tissu (La Peau de Chagrin).

Jean, à Paris, domestique des Piombo, fut envoyé, dans l’été de 1815, au-devant de leur fille attardée (La Vendetta).

Jean, cocher et homme de confiance de M. de Merret, à Vendôme, en 1816 (La Grande Bretèche. — Autre Étude de femme).

Jean, à Paris et sous l’Empire, valet de chambre de la marquise de Listomère (Le Lys dans la Vallée).

Jean, ouvrier terrassier sans doute, un peu jardinier peut-être, vers novembre 1819, travaillait dans une prairie au bord de la Loire pour le compte de Félix Grandet, comblant des trous laissés par des peupliers coupés et en plantant d’autres (Eugénie Grandet).

Jean, l’un des domestiques du duc de Grandlieu, en mai 1830 (Splendeurs et Misères des Courtisanes).

Jean, jardinier de Nucingen à Paris, vers la fin de la Restauration (Splendeurs et Misères des Courtisanes).

Jean, l’un des gardiens du Père-Lachaise en 1820-1821, guida Jules Desmarets et C.-J. Jacquet vers la tombe de Clémence Bourignard[1], enterrée tout récemment (Histoire des Treize : Ferragus, chef des Dévorants).

Jean, à Paris, en 1843, domestique de Josépha Mirah, quand elle reçut Adeline Hulot (La Cousine Bette).

Jean, domestique de Camusot de Marville, à Paris, vers le temps où Madeleine Vivet persécutait Sylvain Pons (Le Cousin Pons).

Jean, cocher du ministre des finances, en 1824, au temps où

  1. En 1868, à Paris, MM. Ferdinand Dugué et Peaucellier ont fait représenter, sur le Théâtre de la Gaîté, un drame dont Clémence Bourignard-Desmarets est un des principaux personnages.