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Bourbon, quand on discuta l’élection de Dorlange-Sallenauve. L’avant-dernière des places ci-dessus énumérées lui permit de sauver sa famille des griffes de madame Valérie Crevel. Dès 1834, propriétaire d’une maison rue Louis-le-Grand, sept ou huit ans plus tard Victorin y recueillit presque tous les Hulot et leurs alliés proches, mais ne put empêcher le second mariage de son père (Le Député d’Arcis. — La Cousine Bette).

Hulot (Madame Victorin), femme du précédent, née Célestine Crevel, mariée par l’effet de la rencontre de son père et de son beau-père, deux libertins. — Elle prit parti dans les dissensions des deux familles, remplaça Lisbeth Fischer pour les soins du ménage de la rue Louis-le-Grand, et ne vit, sans doute, la seconde madame Célestin Crevel qu’au lit de mort de l’ancien parfumeur (La Cousine Bette).

Hulot (Hortense). — V. Steinbock (comtesse Wenceslas).

Hulot d’Ervy (Baronne Hector), née Agathe Piquetard, d’Isigny, où elle sut devenir la seconde femme du baron Hector Hulot d’Ervy. — Entrée à Paris fille de cuisine chez les Hulot vers décembre 1845, elle fut épousée par son vieux maître, alors veuf, le 1er février 1846 (La Cousine Bette).

Humann, le célèbre tailleur parisien de 1836 et des années suivantes, à l’instigation des étudiants Rabourdin et Juste, habilla « en homme politique » Zéphirin Marcas dénué de toute ressource (Zéphirin Marcas).

Huré, natif de Mortagne, était, au commencement de la Restauration, expéditionnaire dans l’étude parisienne de maître Derville, avoué rue Vivienne, quand y parut Hyacinthe-Chabert (Le Colonel Chabert).

Husson (Madame). — V. Clapart (Madame).