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le violoneux de la sapinière.
Ambroise sortit après lui, et les deux jeunes filles restèrent seules.
Véronique cousait, les yeux baissés ; Anne tenait une aiguille, mais ses mains tremblaient.
« Je vais serrer cette robe rose, dit-elle enfin ; il n’y aura certainement pas de bal demain : bien sûr, personne en France ne doit avoir envie de danser. »