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Vieillard, le bonheur s’effarouche
Du vain éclat de la grandeur,
Heureux qui, sur son humble couche,
S’endort avec la paix du cœur ;
Le pauvre, en fermant la paupière,
Rêve un plus heureux lendemain ;
Adieu, voici votre chaumière :

Vieillard, etc.
C. Colmance.