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lais de Childéric, et nulle force humaine ne pouvait l’en tirer ; mais son cœur ne trahissait point son amour pour Sigisbert. »
Le jeune amant fut rassuré par les dernières paroles de l’oracle ; pendant que le druide frémissait de ces mots :
« Nulle force humaine ne pourra l’en tirer….. »
Enfin Sigisbert ouvrit la bouche :
« Mon père, dit-il au vieillard, je connais un homme puissant, qui nous rendra, je l’espère, à vous, une fille chérie, à moi, une épouse adorée. — Quel est ce dieu tutélaire ? demanda le druide. — Il possède tous les secrets de la magie, répondit Sigisbert, rien n’échappe à ses regards clairvoyans. Les secrets impénétrables de l’avenir se développent à ses yeux, et les projets des humains, aussi-bien que leurs efforts s’anéantissent devant lui. La