Page:Collin de Plancy - Les contes noirs - T2.djvu/113

Cette page n’a pas encore été corrigée

105

tendu les paroles qui avaient fait déloger son mari, et n’osait ni parler, ni remuer, ni souffler. Le curé fut appelé le lendemain ; il trouva l’affaire si sérieuse, qu’il se hâta de purifier la masure de la petite rue ; il jeta ensuite de l’eau bénite dans l’appartement des deux époux, dit plusieurs messes basses, et rien ne leur apparut depuis.