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quelques vagabonds, qui assurément avaient part à tous ces désordres ; mais ils n’en étaient sans doute pas les principaux auteurs, ou bien on les relâcha trop tôt ; car deux jours après, pour se dédommager du jeûne qu’ils avaient fait en prison, ils recommencèrent à vider les cruches de vin de ceux qui étaient assez sots pour abandonner leurs maisons dans la nuit. On fut donc obligé d’en revenir aux prières.

» Un jour, pendant qu’on récitait certaines oraisons, après avoir planté je ne sais combien d’épées nues sur la fosse de ce cadavre, que l’on déterrait trois ou quatre fois par jour, suivant le caprice du premier venu, un Albanais, qui par occasion se trouva à Mycone, s’avisa de dire, d’un ton