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ton rocher, c’est que je suis un homme et que tu es un homme et qu’il n’y a plus rien sur nous, ni la vengeance du ciel, ni même nos péchés.

SISYPHE.

Tais-toi, ce n’est qu’une trêve ; les dieux se concertent, ils sont près de nous et je devine, dans ces bruits du soir qui approche, leur invisible présence.

mmIls songent, assis tous deux. Sisyphe est vêtu du manteau du Juif. Le Faune qui est resté au fond, dans les buissons, prend sa flûte et siffle une courte modulation.
SISYPHE.

Ah !