ans nous n’avions plus aucune interruption dans notre solitude ; je suis étonnée, monsieur, qu’aux environs vous n’ayez pas su…
— Je veux parler à mademoiselle de Rosemberg, » s’écria Théodore d’une voix de tonnerre ; et il se cramponnait sur son fauteuil, et il prit une chaise sur laquelle il étendit ses jambes.
Comme la nourrice paraissait épouvantée, il reprit d’un ton résolu : « Oui, madame la nourrice, je veux parler à mademoiselle de Rosemberg, et je ne sors pas de ce château que je n’aie, je le répète, parlé à mademoiselle de Rosemberg. »
Brigitte s’en alla. Théodore resta deux grandes heures sans réponse ; il commençait à s’impatienter, lorsqu’enfin la porte s’ouvrit de nouveau : il se leva avec empressement. Sans doute la maîtresse du logis, courroucée de son impertinente obstination, venait le congédier elle-même.