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BONAPARTE
et
NAPOLÉON.
Lorsque tout un peuple se lève
Pour saluer Napoléon,
Il convient qu’une voix s’élève
Contre l’éclat de ce grand nom ;
Cette voix, c’est la voix pieuse
De la raison impérieuse,
Que nul chant ne peut dominer ;
Et la tête découronnée,
D’une auréole environnée,
Devant elle doit s’incliner.