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pauvre enfant du peuple, servant les autres aux heures des récréations, et aux heures des leçons se montrant le plus empressé au travail. Il prenait même sur ses nuits pour étudier, et n’ayant pas de lumière, il lisait et écrivait à la lueur de quelques charbons embrasés ! Il fit bientôt de rapides progrès dans l’étude de la langue latine, mais il voulut plus encore ; il voulut apprendre cette belle langue grecque, qu’à peine quelques savants connaissaient alors en France. Les plus célèbres ouvrages de la littérature grecque ne s’imprimaient à Paris que depuis vingt ans, ces livres étaient très-chers, et le petit