Page:Colet - Enfances celebres, 1868.djvu/113

Cette page n’a pas encore été corrigée

autour du bûcher où on allait les jeter. Un des gardes fut ému de compassion à la vue de cette bravoure et de cette gaieté. La nuit commençait à venir : » Fuyez, dit le garde à maître Béroalde ; je vous sauve tous pour l’amour de ce gentil garçon, qui sera un jour un fier homme. »