Cette page a été validée par deux contributeurs.
mon cher Empereur partir pour l’île d’Elbe. Ce n’était qu’un cri : « Nous voilà donc laissés à la discrétion d’un nouveau gouvernement. » Si Paris avait tenu vingt-quatre heures, la France était sauvée, mais dans ce temps la populace de Paris ne savait pas faire de barricades ; elle ne l’a appris que pour en faire contre des concitoyens. Il fallu prendre la cocarde blanche, mais j’ai conservé la mienne comme souvenir.