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ner ? Oh ! jamais, jamais, mon bon maître ! j’aimerais mieux mourir ! Mais si vous aviez entendu ce que j’ai entendu, vous sauriez si j’ai tort : Attends, attends ! arrête, arrête ! comme je vous le dis-là, et puis on marchait derrière moi ; j’en suis sûr. C’est égal, vous verrez si je n’y rentre pas quand il le faudra.

Nous étions déjà arrivés à la porte du grand château, le beau tems que Georges m’avait promis, n’était rien moins qu’agréable, et après l’avoir conduit encore quelques pas, je lui dis adieu, Je ne viendrai pas demain, me dit-il, mais après-demain je partirai à huit heures précises ; je mets toujours cinq quarts-d’heure à venir, et vous pouvez être sûr que je serai