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toujours de nouveaux sujets de les aimer, et eux y trouvent le souvenir d’une bonne action, si propre à donner le desir d’en faire d’autres.

Ils sont nés vertueux ; la fortune que je leur prépare, les goûts que je leur inspire, les feront vivre dans une honnête médiocrité, et j’espère qu’ils vivront heureux !

Fin du Tome second et dernier.