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ma volonté, et malheur à qui pourra la gêner.
Vous pouvez m’être utile, en me secondant, et être utile à vous-même tant que vous m’obéirez. Je sens en moi tout ce qu’il faut pour commander aux autres. Dans un moment d’indignation je ne pus m’empêcher de lui dire : oui, vous auriez, je crois, tout ce qu’il faut pour faire leur malheur. Mais…… Il me regarda avec un sourire ironique, et me répondit : vous ai-je annoncé que c’était pour les rendre heureux que je veux les subjuguer ! Peut-être un jour pourrai-je, aussi bien qu’un autre, laisser en paix ceux qui me seront soumis, et veiller même à leur bonheur ; mais je les tiens quittes d’une reconnaissance qu’ils