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Jusques-là je ne trouvais rien qui pût contribuer à me rendre la liberté, mais en passant derrière l’autel, je vis que le mur était ouvert, et que ces catacombes[1] avaient une autre issue que celle par laquelle j’y étais parvenu ; j’en conçus de plus en plus l’espoir que je n’étais pas enterré pour jamais.

J’entrai dans une espèce de corridor entièrement taillé dans le roc. Après avoir marché pendant quelques minutes, j’arrivai dans un carrefour, où le corridor

  1. Comme j’aurai souvent occasion de parler de cette pièce, c’est ainsi que je la nommerai toujours. (Note du vieillard.)