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entreprises ; mais tous me parurent également poussés par un grande curiosité. Ne voyant plus aucun moyen de leur échapper, je fus sur le point de me montrer pour terminer plus vîte cette aventure. Après un peu d’irrésolution, j’allai me décider à le faire, lorsque celui, qui la veille avait témoigné tant de desir de trouver là un aristocrate (et il n’aurait pas manqué de me prendre pour tel) répété ce qu’il avait déjà dit, en paraissant craindre seulement, que celui qui pouvait être caché dans cette ruine, n’eût eu le tems et les moyens de s’échapper. C’en fut assez pour me retenir encore, et un sentiment bien naturel me fit résoudre à attendre au moins la