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LES COUSINES DE LA COLONELLE


vement d’un baiser ; puis quelque chose de chaud, de doux l’inonda ; le spasme déjà connu se reproduisait cette fois avec une intensité particulière ; tout son être tressaillait ; elle perdit conscience de ce qui se passait et ne se réveilla que quelques instants après sous les baisers de Georges.


Les Cousines de la colonelle, Vignette de fin de chapitre
Les Cousines de la colonelle, Vignette de fin de chapitre