au public, mais alourdie d’un second
volume, qui ne nous paraît point porter la
marque de l’auteur du premier. D’ailleurs,
ce second volume forme une addition, non
une continuation, aux aventures des cousines,
lesquelles, rendues libres par la
mort du mari et le lâchage de l’amant, sont
devenues d’un libertinage romanesque et
presque romantique.
Cette deuxième édition, en deux volumes, parut en 1885 avec un frontispice de F. Rops, représentant une scène érotique de flagellation.
Depuis, les deux volumes ont été réimprimés assez fréquemment, mais sans grand souci typographique, et le plus souvent avec de mauvaises gravures libres. Toutes ces éditions ont été rapidement épuisées : le lecteur des pages qui suivent en comprendra aisément la raison.