chercha à percer le pseudonyme de la
vicomtesse. La voix publique, ou du moins
les privilégiés admis à cette lecture risquèrent
des noms ; ce fut un petit jeu passionnant.
Et l’on eut trop vite fait peut-être
de prononcer le nom d’un écrivain de talent
indiscuté qui, plus tard, devait être victime
de son amour pour les sciences occultes,
mais qui disparut en laissant une trace
durable dans les lettres, dans le roman,
dans le conte.
Sans doute, rien d’étonnant à ce qu’un écrivain de race se soit essayé — victorieusement d’ailleurs — à pousser plus loin encore le « naturalisme » si fort à la vogue à ce moment. Nous pourrions aisément citer de nombreux exemples de ces libertines fantaisies. Mais encore ne faut-il pas exagérer cette hypothèse et affirmer une paternité qui ne fut jamais, croyons-nous, acceptée par le véritable intéressé.
En tout cas, le roman est, littérairement parlant, d’une incontestable valeur ; il semble même avoir été revu, çà et là, par une plume de maître, comme celle, par exemple, de l’auteur de Une vie. C’est une