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64*. — Vendredi, 28 (octobre 1844). « Ce qui fait qu’on n’a pas répondu plus tôt à sa marraine, c’est que le fieux ». Souvenirs, p. 204. Voir no 58.

65. — (1851). Billet. Souvenirs, p. 224.

66*. — S. D. « Est-ce que nous sommes brouillés aussi, marraine ». Souvenirs, p. 207.

67*. — S. D. Dimanche. « Je ne suis pas content, marraine, je suis ennuyé et dérangé ». Souvenirs, p. 217.

68*. S. D. « Madame, il vous est arrivé certainement très souvent de souffler dans un ballon sec ». Souvenirs, p. 194. Le Temps, 12 janvier 1881.

69*. — S. D. « J’ai besoin d’un renseignement musical que ma sœur me dit ne pas pouvoir me donner ». Souvenirs, p. 176.

70*. — S. D. « Mon grand-père avait fait un jour acquisition de deux petits bœufs d’airain ». Souvenirs, p. 180. Une phrase changée.

71. — S. D. « Voulez-vous, madame, être assez bonne pour me renvoyer les romances de M. Cervini ». Inventaire des Autographes Fillon. Séries V à VIII. Étienne Charavay, 1878. In-8º, p. 147.

LEVRAULT (Mme), banquier, à Strasbourg.

Trois lettres publiées dans les Annales de l’Est, no 4, octobre 1887.

72. Bade, 18 septembre 1834. « Madame, vous avez peut-être déjà reçu du directeur de la Revue des Deux-Mondes un mot d’avis ».

73. — Bade, septembre 1834. « Madame, j’ai écrit à Paris pour qu’on me fasse passer quelqu’argent ».

74. — Strasbourg, octobre 1834. « Madame, je pars à l’instant et je ne puis vous remercier moi-même ».

LISZT (Frantz).

Deux lettres publiées dans Études et Récits sur Alfred