que je vous réponds tard ». Souvenirs, p. 203. Seulement les vingt premières lignes de cette lettre, qui a huit pages et est ornée d’un dessin. (Rachel me lance un coup d’œil à la Hermione).
57*. — Lundi matin (janvier 1841 ?). — « Madame, je rentre de ma garde, et, à propos d’une baliverne ». Souvenirs, p. 220.
I. — 13 avril 1841. « Je ne puis aller ce soir chez vous, ma chère marraine ». Œuvres posthumes, p. 222. Textuel.
58. — (Juin 1841 ?). « Ai-je besoin de vous dire, ma petite et blonde marraine, qu’une note de vous ». Cette lettre est publiée dans les Souvenirs, p. 218, comme étant une lettre complète ; mais sur une copie écrite par Paul de Musset, en outre des nombreuses variantes, cela ne formerait que la seconde partie d’une autre lettre, du 28 octobre 1844, que l’on, trouvera p. 204 des mêmes Souvenirs (no 64).
59. — (2 avril 1842). « Madame, si un atome de moi vivait encore ». Souvenirs, p. 108. Textuel.
60*. — (Juin ou juillet 1842 ?). « Eh bien, madame, vous ne vouliez pas le croire ». Souvenirs, p. 196.
J. — Mardi, 26 (juillet 1842). « J’ai grogné tout mon saoul, mais je ne veux pas écrire ». Œuvres posthumes, p. 167. Nombreux changements, plusieurs suppressions.
61*. — Lundi (octobre 1842). « Il faut que je vous aime terriblement, madame ». Souvenirs, p. 212.
62*. — Vendredi (octobre 1842). « Ainsi Uranie n’a pas lu la Revue ». Souvenirs, p. 209.
63*. — (Novembre 1842 ?). « Voilà mon frère qui me dit : — Aujourd’hui vendredi ». Souvenirs, p. 215.
K. — 23 novembre (1842). « Je remercie d’abord la plus petite de toutes, de n’avoir pas oublié son ancienne coutume ». Œuvres posthumes, p. 225. Nombreuses coupures.
[Illustration : Alfred de Musset et Rachel, croquis à la plume par Alfred de Musset.]