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clus que celles non vérifiées sont dans les mêmes conditions : aussi vais-je donner mes indications pour tout ce qui est publié[1].

46. — 1er avril 1836. « Belle Madame, style Musset, je suis enfermé de nouveau ». Le Clairon, 27 novembre 1881. Textuel.

A. — (Mai ou juin 1836). « Vous avez eu grand tort, Madame, de n’être pas venue ce soir au Théâtre Français ». Œuvres posthumes, p. 203. Dix lignes et un dessin supprimés à la fin. (Mlle Plessy dans le Barbier de Séville).

B. — 27 février 1837. « Madame, voici le fait : La Princesse m’écrit qu’elle ne peut me bâtir un sujet ». Œuvres posthumes, p. 204. Post-scriptum de cinq lignes supprimé.

47*. — 28 juin 1837. « Madame, comme votre départ m’avait un peu vexé ». Souvenirs, p. 165.

48. — 17 octobre 1837. « Le bruit court que madame Jaubert revient à Paris ». Souvenirs, p. 139. Textuel.

49. — (1837). « Marraine, le fieux est déconfit ». Souvenirs, p. 191. Deux mots changés sans importance. — Le Temps, 12 janvier 1881.

50. — 27 octobre 1837. « Madame, vous avez trouvé le vrai nom du sentiment qui nous unit ». Souvenirs, p. 160. Textuel, sauf le mot « Marraine » mis plusieurs fois à la place de « Amie ».

C. — (15 décembre 1838). « Madame, mon arrangement de loge a manqué ce soir ». Œuvres posthumes, p. 205. Une phrase changée.

D. — 17 décembre 1838. « Vous vous trompez, ma chère marraine, en croyant que c’était sur vous que je comptais ». Œuvres posthumes, p. 206. Plusieurs phrases supprimées ou changées.

E. — (27 mars 1839). Lettre publiée dans la première édition des Œuvres posthumes (Charpentier, 1860. In-12,

  1. Les lettres dont je n’ai pas retrouvé les autographes sont précédées d’une astérisque (*).