eux une correspondance suivie que M. de Belmont brûla peu de temps avant sa mort », survenue en 1857.
BLANC (Edmond).
5. — 4 novembre 1838. « Monsieur le Secrétaire-Général, lorsque vous m’avez fait l’honneur de me recevoir ». La Nouvelle Revue, 15 janvier 1899.
BONNAIRE (Félix), éditeur.
6. — S. D. (1837 ou 1838). « Mon cher ami, voilà mes épreuves ». Bibliographie des Œuvres d’Alfred de Musset par M. Clouard. Rouquette, 1883. In-8º, p. XII.
BOUCOIRAN (Jules).
7. — 7 mars 1835. « Monsieur, je sors de chez madame Sand et on m’apprend qu’elle est à Nohant ». La Revue de Paris, 15 août 1896.
BROHAN (Mme Augustine).
8. — 15 mars 1849. Des Haricots. « O ma chère Brohan, je suis dans les fers ». Le Parlement, 6 avril 1883. Annuaire des Amis des Livres, 11e année. 1890. In-8º, p. 94.
9. — S. D. « Il ne m’est pas possible, ma chère Brohan, de dîner chez vous ». Catalogue de la bibliothèque de feu M. Yver, 2e partie. Paris, E. Paul et L. Huart, 1893. In-8º, no 740. Ne manque que le post-scriptum.
10. — S. D. « Ma chère Brohan, vous avez été deux fois aimable ». Catalogue d’autographes, vente hôtel Drouot le 13 juin 1890. Paris, Gabriel Charavay. In-8º, No 94, fragment.
11. — S. D. « Ma chère Brohan, je vous écris à tout hasard ». Alfred de Musset par Eugène de Mirecourt. Havard, 1854. In-32. Fragment en fac-similé d’autographe. Le Gaulois, 18 août 1896.
BULOZ (François), directeur de la Revue des Deux-Mondes.
12. — Lundi, 18 (août 1834). « Mon ami, ma mère me