tion dite de souscription (Œuvres posthumes), ne donnent qu’une bien faible idée de ce que sont les autres et n’en représentent qu’une partie bien minime.
Cependant, beaucoup d’autres lettres de notre poète existent éparses dans des journaux, des revues ou des livres. Voici, avec l’indication du recueil dans lequel je les ai trouvées imprimées pour la première fois, celles qui sont parvenues à ma connaissance.
ARAGO (Alfred).
1. — Sans date : « J’ai connu un jeune peintre, qui avait une demoiselle de compagnie ». Le Monde Illustré, 27 septembre 1862. Fragment.
AUGIER (Émile).
2. — Lundi, 1848 : « Vous allez me trouver, mon cher Augier, une bien ridicule créature ». Le Gaulois, 7 août 1893. Je n’ai pu vérifier si, comme on me l’a dit, c’est cette lettre qui est donnée en fac-similé d’autographe dans l’Album de l’Exposition d’art dramatique à Vienne, en 1892. Paris, 1894. In-folio.
BELGIOJOSO (Mme la princesse Christine Trivulce de).
3. — S. D. (1836) : « Je ne crois pas, princesse, toute fausse modestie à part ». Inventaire des Autographes de M. Fillon. Séries V à VIII. Étienne Charavay, 1878. In-8º, page 148, fragment.
BELMONT (Marquis Alfred de).
4. — Madame la vicomtesse de Janzé nous apprend dans ses Études et Récits (Plon, 1891, in-12, p. 217) que M. de Belmont « essaya à plusieurs reprises d’enrôler son ami Alfred de Musset dans la poursuite du surnaturel, mais il ne put le persuader. Ils avaient eu entre