quer quelques pièces données comme inédites, et qui ne sont en réalité que des réimpressions d’œuvres publiées :
1º L’Épigraphe placée en tête du tome II de LÉLIA par George Sand (Dupuy et Tenré, 1833. 2 vol. in-8º). — Le Fragment donné page 190 de LES DEUX SOEURS, par Mme Aglaé de Corday (Louviers, Achaintre, 1838. 1 vol. in-8º), ne sont que deux strophes de Namouna.
2º La Nouvelle en prose que publie la GAZETTE DE LA NOBLESSE du 16 octobre 1856, est un extrait du Voyage où il vous plaira, par Hetzel.
3º La couverture de la 87e livraison des FRANÇAIS PEINTS PAR EUX-MÊMES (Curmer, 1840, in-4º), donne comme inédits 18 vers, que reproduit LE NATIONAL de Bruxelles du 26 mars 1880, lesquels sont les 18 premiers vers des Secrètes pensées de Rafaël.
4º LE DIOGÈNE du 19 octobre 1856 annonce des Stances à Mme Dorval, mais rectifie son erreur dans le numéro du 9 novembre ; ce sont les stances A la Malibran.
5º Le journal LE PLAISIR A PARIS du 26 juin 1889 publie « Le Navire », fragment du Retour, et l’« Ennui », fragment des Stances : « Je méditais courbé ».
* * * * *
Il reste une question que j’aurais voulu aborder, celle de la Correspondance d’Alfred de Musset, mais cela m’entraînerait en des détails bibliographiques bien longs[1]. Les trente-cinq lettres mises à la fin du volume des OEUVRES POSTHUMES, ne donnent qu’un bien faible aperçu de ce qu’elle est.
Par les publications faites en 1896 à propos d’Elle et Lui, on connaît des fragments des lettres qu’Alfred de Musset écrivait à George Sand ; d’autres, adressées à
- ↑ C’est pour la même raison que j’omets les Variantes qu’offrent entre eux les divers textes imprimés.