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le fragment d’une Comédie en prose se passant rue Saint-Honoré, dans l’ÉVÉNEMENT du 29 novembre 1881, sont du même auteur. — La Branche de Myrthe (GRAND JOURNAL, 23 septembre 1866) n’a jamais existé dans LA PSYCHÉ de 1826. — La Jeune Tarentine (REVUE RÉTROSPECTIVE, 1er mai 1891) est de Sainte-Beuve. — Le quatrain d’Envoi de Denise (l’ÉVÉNEMENT, 25 octobre 1878) est de Aurélien Scholl. — Sur la mort d’un parapluie, poésie, datée du 5 mars 1849 et dans laquelle il parle de ses collègues de l’Académie Française, où il ne fut reçu qu’en 1852, publiée dans l’ILLUSTRATION du 20 décembre ses collègues de l’Académie Française, où il ne fut reçu 1873, fait plus que me sembler être composée par le signataire de l’article, Philibert Audebrand. — Nous avons dit plus haut quel est l’auteur du conte Denise de la REVUE BLEUE. Pour la Critique de Notre-Dame de Paris dans le TEMPS des 31 mai et 17 juillet 1831[1], le Paysage Matinal, sonnet, du VOLEUR du 25 août 1876, et les stances Ce qu’il me faut, du NOUVEAU PARNASSE SATIRIQUE (Bruxelles, 1881, in-8º), j’ignore quels en sont les auteurs, mais ce n’est certes pas Alfred de Musset.

Je citerai enfin comme une simple curiosité six Poésies Médianimiques que M. L. Vavasseur, directeur de la Revue Spirite, a publiées en 1867 dans une plaquette in-18, intitulée : ÉCHOS POÉTIQUES D’OUTRE-TOMBE et une autre pièce du même genre dont M. le Vicomte de Spoelberch de Lovenjoul donne le texte dans son HISTOIRE DES OEUVRES DE TH. GAUTIER (Charpentier, 1887. 2 vol. in-8º, II, p. 311). — LE FIGARO du 17 janvier 1899 donne encore le texte d’une nouvelle poésie médianimique, empruntée au livre de M. Diguet : LES VERS DE L’ESPRIT, RECUEIL DE COMMUNICATIONS TYPTOLOGIQUES.

  1. Voir : Alfred de Musset et ses prétendues attaques contre Victor Hugo, par M. le vicomte de Spoelberch de Lovenjoul. Paris, Rouveyre, 1878. Br. in-18.