J’ai vu ton sourire et tes larmes,
J’ai vu ton cœur triste et joyeux,
Qui des deux a le plus de charmes ?
Dis-moi ce que j’aime le mieux :
Les perles de ta bouche ou celles de tes yeux ?
Comme cela rentre bien dans « ce bon souvenir d’une amitié qui vaut bien des amours » !
Le PANTHÉON DES ILLUSTRATIONS FRANÇAISES AU XIXe SIÈCLE, par Victor Frond, donne, comme fac-similé d’autographe, ce fragment :
Froide, maigre, légère, une main palpitante
Voltigeait sur la table où roulait des flots d’or.
Entrons, murmurait-on ! Tuons-le, puisqu’il dort !
Le vieillard chévrotait dans sa robe sanglante :
C’est mon pain quotidien, mon travail, ma sueur.
Le toscin répondait : la ville est au pillage !
Les enfants de la mort lui fouillent dans le cœur !
Les mères, tout en sang, couraient sur le rivage
Appelant leurs enfants qui flottaient sur les eaux.
La Quenouille de Barberine, comédie en deux actes, contient des passages et des scènes que l’on ne retrouve pas dans Barberine, comédie en trois actes. Cette première version de la même pièce se trouve dans toutes les éditions des COMÉDIES ET PROVERBES antérieures à 1852, et la seconde version dans toutes les éditions postérieures.
Le Chant des Amis, cantate, paroles de M. Alfred de Musset, musique d’Ambroise Thomas, exécutée à Lille le 21 juin 1852, éditée primitivement chez Gérard, a été réimprimée chez Brandus et se trouve chez les marchands de musique.
Et même, si l’on veut se donner la peine de chercher un peu, il n’est pas très difficile de mettre la main sur la Dissertation Latine qui remporta le 2e prix au Concours général de 1827 : « Quæniam sint judiciorum motiva ? An cuncta ad unum possint reduci ? » dont le texte est