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Des poésies adressées A George Sand, dans la REVUE DE PARIS du 1er novembre 1896.

Restent enfin les communications faites par des tiers, amis ou collectionneurs, qui nous fournissent une nouvelle moisson :

Variantes de La Coupe et les Lèvres. — L’ÉVÉNEMENT, 29 novembre 1881.

Moi, je n’ai jamais fait à la nature humaine…, etc…

Autres Variantes du même poème, le VOLTAIRE, 17 mai 1887, que voici, d’après le manuscrit, le texte publié étant peu correct :

Poésie ! Harmonie ! Amour ! Larmes célestes,
Que les douleurs de l’homme arrachèrent aux yeux
Du vengeur immortel qui les chassa des cieux,
Si vous versez parfois, poisons doux et funestes,
Le baume de l’oubli sur mes cuisants regrets,
Quels trésors ignorés doit recéler une âme
Dont le ciel a puisé l’essence à votre flamme ?
Camp où les feux sacrés ne s’éteignent jamais ?
    Dieu donna la beauté, dont le regard attire
A ces êtres divins qu’il créa d’un sourire,
Leur fit un front de vierge et de longs yeux voilés
Et leur dit en partant : « Allez et consolez ! »
    Mais eux-mêmes souvent, du feu qui les habite,
On les voit ici-bas se plaindre et s’étonner,
Ne pouvant contenir le rayon qui s’agite,
Et qui, venu du Ciel, y voudrait retourner.

[ACTE I, SCÈNE 2].

Ex Dono à un astronome. BIBLIOGRAPHIE ROMANTIQUE, par Charles Asselineau. 2e édit. Paris, Rouquette, 1874. In-8º.

Un Fragment en Vers qui est le début de l’article, en prose, Un Mot sur l’art moderne (publié dans les Mélanges de Littérature). ÉCHO DE LA SEMAINE, 24 mai 1896 :