Celles qui ne peuvent éveiller aucune idée malveillante ont été publiées :
L’Anglaise en Diligence, dans l’ART du 18 février 1883.
Les premières strophes des Stances burlesques à George Sand, dans la REVUE DE PARIS du 15 août 1896.
Des fragments de la Réponse à Ulric Guttinguer, en vers, dans la GAZETTE ANECDOTIQUE du 30 juin 1891.
Le Songe du Reviewer ou Buloz consterné dans le COURRIER DE PARIS du 19 mai 1857, la PETITE REVUE du 15 juillet 1865, et L’INTERMÉDIAIRE DES CHERCHEURS du 10 octobre 1891.
A une Muse ou Une Valseuse dans le Cénacle romantique, en partie dans le FIGARO du 4 novembre 1855, et en entier dans le tome I de la CURIOSITÉ LITTÉRAIRE. (Paris, Liseux, 1880. In-12).
Le Voyage à Pontchartrain, dans une brochure de M. Lorin : UNE EXCURSION A PONTCHARTRAIN. Rambouillet, 1890. In-8º. C’est un récit humoristique, adressé à Charles Nodier, qui répondit à l’auteur par ces stances célèbres, composées sur le même rythme :
J’ai lu ta vive odyssée
Cadencée, etc…
Ajoutez à cela que Mme Lardin de Musset, faisant un nouveau choix après son frère Paul, a publié encore quelques-unes de ces reliques :
Valentin, qui n’est autre que l’avant-propos de la nouvelle Les deux Maîtresses, dans le GAULOIS du 22 août 1896.
Le Roman par lettres, dont plusieurs passages se retrouvent dans FANTASIO, dans le GAULOIS des 17, 18, 19 et 20 juillet 1896[1].
- ↑ La donnée du roman de George Sand, Le Secrétaire intime, écrit en 1834, offre de très grands points de ressemblance avec cette œuvre d’Alfred de Musset. On retrouve même chez G. Sand le nom de Spark.