Page:Clouard - Documents inédits sur Alfred de Musset, 1900.djvu/197

Cette page n’a pas encore été corrigée

Des stances A la sœur Marcelline, incomplètes, mais données en entier dans le FIGARO du 14 mai 1887.

L’Exercice de nos facultés, fragment en prose.

A trente ans, fragment en prose.

Judith et Allori, fragment dramatique, en vers.

Un Sonnet à sa Marraine : « Qu’un sot me calomnie… »

Des Stances à Mme Ristori.

Une Chanson : « Hélas ! Hélas !… »

Le petit moinillon, stances à Mlle E. d’A.

Un Quatrain à Mlle Melesville, écrit au bas d’un dessin de M. Chenavard, représentant la première rencontre de Petrarque et de Laure, dessin où les deux figures du poète et de sa maîtresse avaient quelque ressemblance avec les traits d’Alfred de Musset et de Mlle Melesville. Il avait été question d’un mariage entre les deux jeunes gens.

A ces fragments, il faut joindre les poésies publiées par les soins de Paul :

Le 3 mai 1814, stances. MAGASIN DE LIBRAIRIE, 10 décembre 1859.

Après la lecture d’Indiana, poésie. REVUE DES DEUX-MONDES, 1er novembre 1878.

Variante en vers de : On ne badine pas avec l’amour, acte I. REVUE NATIONALE, 1er novembre 1861.

Sauf quelques exceptions que nous indiquons plus loin, les fragments demeurés inconnus n’offrent qu’un intérêt secondaire, par suite de leur peu d’étendue ou de l’impossibilité de les rattacher à quelque chose. Bien plus, parmi ces exceptions, se trouvent des satires, des facéties sur le personnage ou l’événement du jour, charges d’atelier ou de salon, faites entre amis, pour passer le temps, « en riant et sans malice ni aversion contre personne », comme Alfred de Musset le déclare lui-même au bas de l’une d’elles, mais qui, connues du grand public, pourraient quelquefois être mal interprétées.