GRANDEURS ET MISÈRES D'UNE: VICTOIRE discours où il disait notamment :« Nous sommes. devant lles fait a un peuple, mal conduit, al som « bré du haut del sa civilisation dans une barbarie « abominable, dans le bolchevisme et la lutte fra- stricide. Conclusion, la résolution suivante fut votée àll'issue de la réunion: Hi-t-seekq 98 ou aik Unitrès grand nombre de Palatins désirent voir se constituer une République autonome du < Palatinat...JA a na mtostoli Ad Ceux qui représentent cette idée sont convain- «cus que la réalisation de ce plan ne peut se faire qu'en accord avec la Conférence de la paix. ob S'appuyant sur le principe du droit de libre disposition des peuples, ils prient M. le général «commandant l'armée dubPalatinat de vouloir « bien transmettre ce désir à la Conférence de la 176 paix Lap façon donto onl pourras entreprendre « l'exécution de cette sidée dépendra des l'avis donné par da Conférence.neloong al jul olloT M. Vial-Mazel ajoute : ongolo iousa « Une copie de ce document historique fut por- «tée parqunllofficier supérieur au maréchal Foch & qui fit répondre que, sous peu, des Palatins pour- naient parler ouvertementlets que des garanties « leur éseraientb données pour qu'ils pussent agir shsans avoir à craindre le retour des autorités alle- « mandes ». .(I) (07099 > el Le malheur est que, comme pour la manifesta- tion de Cologne du 4 décembre 1918, bil ne s'agit là, dans l'esprit de ces à notables », que d'une ime sure destinée à sauver les peuples rhénans de la contamination révolutionnaire de Moscou. (1) 0 Et la preuve en est dans l'attitude ultérieure
- 8*1 Hoffmann, le président du parti populaire ba-
varois, qui paraît avoir joué lors de la réunion de
