officiels du peuple phénan et westphalien à pro- jedlamer de plus tôtapossible la fondation d’UNE « RÉPUBLIQUE AUTONOME RHENO-WESTPHALIENNE DANS LE CADRE DE ALLEMAGNEJ 19mom UA son sitive laolibertés thénanell eittosio 98 eriSi l’on veutvoir slap l’indication d’un mouve- ment d’autonomie dans la difbction de la France, alvouonscqu’il faut bingilièrement forcer le séns/des motsibToute au cohtraire, yipeutsón oreconnaître clairement le besoin de constituer un Etat ALLE+ MAIND » sous la protection des troupes d’occupation appèléés càiprotéger lanlibertés rhénüne du danger des révolutions de Berlin, à l’appèl des Soviets, propagandistesaredoutablesnu ausb él-woj 90 -Lerdendemain, 5 décembre 1948, eut lieu, abu² jours sai Gologhe, da bpremière bréuniong de laligue pour la liberté rhénane. Cette fois, nous connais- sons des orateurs acessont Herri Proféssov Doktor Eskert (démocràte), Herri Doktor ! Hoeber (cen- triste) et Herb Meerfelde (député socialiste)pobè » -ola diberté rhépatik qutracclamédansit asbnot » L’idée, comme dit M. Viel Mazel, faisaituson cheminiol Lebprofesseur Claus Kroemer publiait, dans la Gazette populaire rhénane, une série d’ar- ticles dans Mesquelspleie droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » étalitoconsciencieusement établiqet discutéaitsib tst nu 19miot q supimoио >> On voit assez clairement que M.r Claus Ki6emer réclamait cé « droit dest peuples à disposer d’eux- mêmes pour leur permettrende sesséparer ide l’Allemagne et d’échapper àndag domination des Alliés98òrq91 89 onob stivni 99ldem988AI »
Quelques semaines s’écoulèrent.
Le bourgmestre de Cologne, Adenauer, avait pris la direction du « mouvement ».
