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grandeurs et misères d’une victoire

139 GRANDEURSETI MISERES D’UNE VICTOIRE Aujourd’hui, sih njestopas discutablesquel nous en soyons venus à un ambindrissement de notre victoire foù les.odéfaillances de nos politiciens à tout faire sel sont donné tropidargement carrière. Cela ne peut être mis en question qué pár des défaillants qui ne demandent deş icomptes aquie pour empêcher, qu’il leurlen soit demandé. Sans le maréchal Foch, le coup.eut peut-êtrebpu [réussir. Mais déjà des masques sont tombésb noissainng10 12 Qu’arrivertail, en effet ? Gieste que M. Poincaré eti-le maréchal Foch se dressent, chacun selon la hauteuradeqsoni génieuparticulier, et ofont atomber sur moi l’aversende boules enaires quell’infaillis bilité professionnelle réserveau malheureux qui, n’étant ni juge, nii militaire, sevdito promu(au triste destin de réprouvézotoupnos ob obasmolls 20M. Poincaré déclare, queo j’ai bauvé la France dans la guetre ce à quoi jeine serais pas étonné que le maréchal Foch eût des objections : à prés senter is ti maisiapoftr scompromettre ! grayemeniti mon pays dans la nouvelle paix, parce que je n’ai pas mis la main subla Rhenanie (61).1 sl ob Pourquoi Mai Poincaré, qui connaît : l’histoire durTraité, et le manérihal Foch, qui, de fortuned peutinlánsoupçonner ! mea demandenteils compte d’une Rhénanie à leur image, sans ndire unomoti dell’Europe de droit, notre meilleure garantie dans le désarroi présent ? id alioub ob obyuqqs sider -orgqs sigsistia on’b anoitus (4) Micux encore, dans le numéro de juillet 1929. de la revue américaine, Foreign affairs, M. Poincaré ne craint pas de déclarer que la France s’est contentée de récupérer l Alsace Lorraine, lqu’bllen’a pas même demandeiles frontières de 1814, qt qu’elle n’a jamajs désiré dayantage, en oubliant le dire que ce fut contre son avis personnel. C’est ainsi qu’il m’objurgue eitrd Frandais, etaplarde ma these (contre sa propre opi nion) au regard de l’étrangarugaol sulq ol 39 tasmotiol