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- 10717 L’EUROPE DEIDROITHUZASED
responsabilités en fabe et banderlles omeilleursade ses ressorts pour produire de l’actiomi tandis que nos géns : ne trouvent, au plusi profond dleux mêmes, qués des velléités : oivno on 2007 oupion 9iLe maréchal : Foch, auimoins, a dombattu pour son lidée au Conseil des ministres et à las Confes rence de la paixu Dans ces deux occasións, il aveu l’unanimité contreilui, et cela ne lia pas décburagé. Mis Poincaré n’a gardé le silenceo que lorsqu’il pouvaitbserdroire en périlod’être érouté Maisizun absent et un muet, ueéo mjest bpeut êtrel opasnassez pour défendve : tind cause que, minute par minutes j’ai d quloureusement vécuertovuog aob sibnoqób obDepuis deskietles, la France et la Grande-Bre- Lágne se sont disputé la possession des continents civilisés ou àllciviliser La vie de l’Angleterre est la plus prodigieuse histoire de conquêtes durables ! bien près d’être épuisée, semble-t-ill par les riva- lités des foyers mêmes d’indépendance qu’elle autréés, alimentés, développés de toutes parts. olimojouno à Paris, cauiopieds de laostatudlide Washington, bùivenaients dèvdéfiler les premiers soldats laméricains, M. Lloyd George, jusque-là fort réservé, ime dit à voix bassep : li-tuet s gase iup-ak Savez-vous que vous venez de me faire sau luer une des plus grandes défaites de l’Angleterreba albim’était pas encore lquestion dudvoyage de M. Mac Dionaldrà Washington Jerépondisust li ol-indtysasquoassez deb victoires et det défaites entre nous, Au front, je o’enisalue pas de moins bonlcbeur votre drapeau dans la mêlée. Il est assez clair que, de Londres, vous ne pourriez pas aujourdl d’hui gouverner l’Amériqué Déjà les Dóminionis vous demandent dos comptes. L2 Inde volus de vient un lourd fardeaurke conquérant, prisonnier de sal
