Page:Clemenceau - Grandeurs et misères d'une victoire, 1930.pdf/176

Le texte de cette page n’a pas pu être entièrement corrigé, à cause d’un problème décrit en page de discussion.
166
grandeurs et misères d’une victoire

GRANDEURS ET MISÈRES D’UNE VICTOIRE dei lask traditionnelle politiques britannique con- sistant à diviser lemcontinent européén pour le atriomphes de l’insulaire, ce qui nous aconduits aux présentes dispositions d’anarchie, et menace ide nous yl enlisen ? Suivre M. le président Wilson, porteur d’une idéologieaquione iprétendait à qrien de moins qu’à l’établissement d’un droit inter- nationalli plus/ éfficacen que le droitoocommun ? Hélas de droit ; q pourrait-onsercontenteri de le parler en vain, quand le problèmhetinsoluble était de le faire vivrelsanslqu’il luiofûtaconférévaucun pouvoir d’exécution ? Mi Wilsonine connaissait pas Europe, et saò résistances obstinée aux insigni- fiantes qconcessions i quibluiétaiert odemandéesnà Washington, montre que l’Amérique elle-même ne lui était pas suffisamment connue. C’était un doce trinaire au meilleur sens du mot. Un homme d’in- tentions excellehtes, mais d’émotions cristallisées. 98 Un Parlement de surparlementaires sans outil d’autorité, otoilà donc le talisman qui nous fut rémis pour le plein jeu de nos insuffisances de caractère. Rien ne pouvait mieux convenir à notré verbeuse apathie. Le Traitéitepoussé a Sénat américain par vix voix demajorité la Grande-Bretagne etula Francene gon’t réciproquement donné le spectacle dé latplass folle déroube de vainqueurs en àrmes devant lés vaihcus désarmés. Jamais non n’avait vu pareilbeffondrementades puissances maîtresse’s du jour, devahtsoun peuple abattaiiqui, parauh simple redressement śd’énorgie, aq misiude haute thain le qdéstarroit chezuses lyainqueurs soudaine- menu paralysés otoubnoo asb sitiisquil gase uol ! TioC’est qu’llones suffit pas, en temps des paix, d’êtrerine machine à parlementer. Il faudrait d’abord avoir gassez deolebeur pour regarder les