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l’offensive.

à laquelle il faut tenir cette armée de la place assiégée. En général c’est de la configuration du terrain et de la position des autres armées ou corps d’armée avec lesquels l’armée de siège doit rester en communication qu’il convient ici de tenir compte, sans perdre de vue cependant que plus l’armée d’observation est éloignée et mieux le siège est couvert, tandis que, plus les deux armées sont voisines l’une de l’autre et plus elles sont à même de se porter réciproquement secours.