Page:Claude Boyer - Porus ou la Générosité d’Alexandre, 1648.djvu/67

Cette page n’a pas encore été corrigée
PERDICCAS.

Ah ! Ne m’empêchez pas de venger votre sœur.

ARSACIDE.

C’est à toi que j’en veux garde-toi d’Arsacide.

PERDICCAS.

Ah rival ! Penses-tu que ton nom m’intimide ?
J’accepte le combat et malgré moi je perds
Le respect que tu dois à celle que tu sers.

ARSACIDE.

Ils se battent.
Contre mon désespoir songe à te mieux défendre.

ORAXENE.

Ah Clairance !

CLAIRANCE.

Ah ma sœur ! J’aperçois Alexandre.