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FRANÇOIS COPPÉE



Une des meilleures soirées de halte en pleine causerie amicale, libre et confiante, qu’il m’ait été donné de passer, dans cette âpre vie de Paris, c’est un soir d’avril, rue Oudinot, chez François Coppée, devant le jardin du poète où les premières fleurs printanières donnaient à ce coin parisien des perspectives d’écran japonais. Et sous la lampe, entre esprits divers et charmeurs, quels propos ironi-