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au roi bigot dont elle s’était crue menacée ! Or, la lutte fratricide touchait à sa fin, et, seules, quelques barricades, obstinément défendues par les débris de l’armée urbaine, tenaient ça et là sur le plateau de Belleville.

Encombrée de morts et de mourants, une d’elles avait, quoique éventrée par les crachats des canons, arrêté dix fois au moins les colonnes versaillaises