Page:Clément - La Revanche des communeux.djvu/58

Cette page a été validée par deux contributeurs.

ne soufflent pas mot d’un homme qui fut député et rapporteur d’une commission aussi extraordinaire. C’est à vous dégoûter des particules, des hommes et de la politique !


Nous nous arrêtons donc à onze pour les rapporteurs, libre aux lecteurs de prendre dans la commission pour compléter la douzaine ; ils n’auront que l’embarras du choix.


Nous passons maintenant aux simples enquêteurs, mais à qui cependant le titre de membre de la commission suffit pour les recommander à l’admiration de leurs concitoyens et surtout à la reconnaissance des Communeux.


M. BOURGEOIS. — Et c’est bien assez. Un médecin, ce qui ne l’empêche pas de lâcher ses malades et de venir s’installer à Versailles en 1871. Il siège à l’extrême droite qu’il ne trouve pas encore assez fleur de lys, et se fait un des compères de la bande Broglie. Chez ce légitimiste sans particule, et dont le nom est tout ce qu’il y a de plus prudhomme, l’apothicaire l’emporte sur le médecin : il se flatte de préparer un bouillon d’onze heures à la République. Assurément il doit être l’inventeur, non pas d’un clyso… mais d’une seringue quelconque.


M. Jules BUISSON, d’écrevisses… Ah ! pardon ! de Carcassonne. — Vient à Paris à l’âge des illusions avec le projet bien arrêté d’y étudier la gra-